Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies.
Il faudrait multiplier les maisons d’études, pour les enfants, les maisons de lecture pour les hommes; tous les établissements, tous les asiles où l’on médite, où l’on s’instruit, où l’on se recueille, où l’on apprend quelque chose, où l’on devient meilleur ; en un mot, il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l’esprit du peuple ; car c’est par les ténèbres qu’on le perd.
Discours à l’assemblée générale 1848 – Victor Hugo